Sylvie Gedda
Elle a trouvé sur toile tout l’impalpable et l’évanescence de couleurs diaphanes posées en films fluides en des mouvements maîtrisés ou les formes féminines, pleines et rondes trouvent leur apogée.
Comme le chorégraphe construit son ballet en jouant de l’espace, de la lumière et du mouvement Sylvie GEDDA fait danser la couleur.
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On a pu voir son travail dans de nombreux salons (Grand Palais, Centre Beaubourg à Paris ; expositions internationales franco grecque, turque, finlandaise, suisse, italienne, européenne.) mais également dans de nombreuses galeries tant en France qu’aux Antilles et à l’étranger.
Elle fut l’invité de l’Auditorio de Gondomar à Porto lorsque la ville fut nommée Capitale européenne de l’art (2001).
De décembre 2007 à mars 2008 : ART MONDIAL (courtage d’œuvres d’art international), villes de SAPPORO, TOKYO, NAGOYA, KOBE, KIOTO.
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Elle fait partie de collections publiques et privées : FRANCE, ANTILLES, PORTUGAL, ETATS-UNIS, SUISSE.
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De grands parents immigrés russe et italien, elle travaille et réside en France sur le Bassin d’Arcachon.
Son travail s’appuie sur une solide formation : école des Beaux Arts de Bordeaux, licence d’arts plastiques université de la Sorbonne à Paris, diplômée de l’ Institut Académique de Paris, Chevalier Académique de l’ Académie Internazionale Gréci Marino.
« Passionnée par le rythme et la couleur, Sylvie GEDDA est un authentique peintre. Elle mène un véritable combat pictural, ses meilleurs atouts : des couleurs vives et généreuses posées sur la toile en pleine pâte. Largesse du geste, force d’expression. Sylvie GEDDA nous entraîne dans une intense joie visuelle car le résultat est beau comme un vitrail en dalles de verre traversé par le soleil. Par l’équilibre de ses lignes de force et par l’intensité de ses pigments Sylvie GEDDA artiste nous apprend à regarder les couleurs en face. »
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Michel TORRENTE Galerie CONDILLAC (BORDEAUX 1994).
Apres plusieurs années de travail sur la pâte peinture (1ére exposition personnelle à Paris en 1981) une installation peinte sur plaques de polyglass mise en place au sein des arbres du jardin Louis David par la ville d’Andernos lui a permis d’orienter son travail sur une recherche plus graphique et lyrique basée sur les transparences et le mouvement.
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Ses oeuvres
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